Des étudiants avec des parcours riches et variés

Après près de 6 mois de cours, que penses-tu du Master Cultures Numériques ?

Aujourd’hui, je peux affirmer que le Master Cultures Numériques répond à toutes mes attentes et bien plus encore. Je n’ai jamais autant progressé en l’espace d’un semestre au cours de mes études que cette année (et pourtant le rythme en prépa était soutenu). Les cours sont bien structurés et les intervenants sont très intéressants. L’évaluation sous forme de projets permet de s'imprégner des concepts théoriques très rapidement, grâce à la pratique. Par ailleurs, le fait que les étudiants viennent de formations différentes est très enrichissant car cela permet d’échanger et d’apprendre les uns des autres durant les projets de groupe.

Clémentine, peux-tu nous en dire un peu plus sur ton parcours universitaire ?

À la base, j’ai un bac littéraire spécialité Mathématiques, option Arts Plastiques. J’ai choisi d’intégrer un DUT Métiers du Multimédia et de l’Internet, car j’étais curieuse de découvrir les outils liés au numérique et développer un savoir-faire technique. Puis, j’ai fait une troisième année de licence générale en gestion de projets numériques à Paris car il me semblait intéressant de développer le côté management de projet. Enfin, j’ai fait un service civique d’un an à Barcelone dans une association où j’ai participé à la mise en place d’outils de communication à l’AFEV, une association qui fait des projets de mentorats avec des jeunes dans les quartiers défavorisés. J’ai passé deux années en alternance (DUT2 et L3) en tant que chargée de communication, dans deux structures différentes.

Pour quelle(s) raison(s) as-tu souhaité intégrer ce Master ?

Ces expériences m’ont confortée dans l’idée que je souhaitais travailler dans le numérique, mais j’ai pu trouver des limites dans la fonction de chargée de communication et j’ai souhaité poursuivre mes études et trouver un master pluridisciplinaire qui pourrait m’apporter d’autres connaissances, notamment en terme d’ergonomie et d’expérience utilisateur. Après quelques recherches, je suis tombée sur l’offre du Master Cultures Numériques. Le fonctionnement en projet et la pluridisciplinarité des enseignements m’ont directement intéressé car je souhaitais reprendre mes études avec un système plutôt professionnalisant.

Adam, quel a été ton parcours avant d’intégré le Master Cultures Numériques ?

J'ai obtenu mon bac technologique STI2D avant d’intégrer une licence de sociologie à l'Université de Paris Sorbonne. Une fois ma licence finie, j'ai suivi un double cursus prépa journalisme à Montpellier et un master recherche Religions et Sociétés avec l'Université de Bordeaux Montaigne, que je continue cette année en parallèle du master Cultures Numériques.

Pour quelle raison as-tu souhaité compléter ton cursus ?

J’ai intégré le master parce que je cherchais une formation plus professionnelle et moins axée sur la recherche que mon second master. J'avais déjà touché à l'informatique et au codage quand j'étais au lycée, je me suis donc dis que ça pouvait être intéressant de continuer en master avec une formation transversale et polyarticulaire. C'est vraiment l'aspect polyvalent qui m'a séduit.

Alex, qu'as-tu fait avant de rejoindre le Master ?

Issu d'un Bac Scientifique, j'ai d'abord suivi la prépa intégrée de Polytech Nantes durant deux ans, avant de me réorienter par manque d'intérêt pour la plupart des matières trop théoriques, vers la seule qui me parlait vraiment : l'informatique. Ainsi, j'ai continué mes études en L3 MIAGE (Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion des Entreprises) à Nantes, une licence assez spécialisée où j'ai principalement gagné en niveau sur la programmation, mais les perspectives d'emplois dans cette filière ne m'enchantaient pas vraiment... C'est donc en explorant les formations de Nantes Université que j'ai découvert le Master Cultures Numériques, et il m'a alors réellement conquis !

Et es-tu toujours conquis après ces quelques mois de M1 ?